Comme chaque année, Arash Derambarsh et Dentsu Aegis ont distribué gratuitement 1500 cartables et fournitures scolaires aux enfants de Courbevoie.
Remerciements aux partenaires « Carrefour », « Franprix », « le Rugby Club de Courbevoie » et aux parrains Hassane Kolingar (Racing 92) et Ryan Chapuis (Stade Français)
L’avocat Maître Arash Derambarsh en interview avec la journaliste Sonia Mabrouk
La Sorbonne reconnaît ses erreurs dans un rapport confidentiel selon “ Le Courrier de l’Atlas ” concernant le supposé plagiat d’Arash Derambarsh sur sa thèse.
Le Courrier de l’Atlas, qui avait sollicité l’université, explique : “A une majorité de nos questions, nous étions renvoyés à un rapport de l’enquête administrative interne”, un rapport qu’il ont réussi à obtenir. Ainsi dans ce rapport interne, l’Université confirme l’importance de recevoir une formation doctorale pour l’écriture d’une thèse. Rappelons qu’Arash Derambarsh n’en a jamais reçu et qu’il n’a jamais signé la moindre charte de l’Université. Le Courrier de l’Atlas indique que l’université confirme également qu’il n’y a eu aucune complaisance de la part de son jury de thèse.
Rappelons qu’Arash Derambarsh a été accusé de soutenir une thèse de complaisance. Concernant la confidentialité de la thèse, ce rapport interne dédouane Arash Derambarsh. Certains l’ont accusé d’avoir été à l’origine de cette demande. Il n’en est rien visiblement.
Enfin concernant le logiciel COMPILATION, l’Université aurait utilisé ce logiciel de la mauvaise façon. En effet, l’université aurait utilisé ce logiciel comme d’un outil « anti-plagiat » alors même que la société COMPILATION réfute fermement cela et continue de dire que son outil ne mesure que les similitudes et seule une main humaine peut établir le plagiat. Plagiat qu’il n’y avait pas dans la thèse d’Arash Derambarsh puisque tous les noms apparaissaient mais de façon éparpillées et maladroites (nom dans la bibliographie ou dans le corps de page notamment) : https://www.compilatio.net/blog/arash-derambarsh-conteste-la-fiabilite-de-compilatio
Rappelons que l’Université Paris 1 La Sorbonne avait condamné Arash Derambarsh pour la totalité de ces faits. Le journaliste du Courrier de l’Atlas, Yassir Guelzim, affirme dans son enquête que Thomas Clay (ancien président provisoire de cette université) n’a pas voulu révéler publiquement ce rapport.
Ce 3 février 2021, nous fêtons le cinquième anniversaire de la
loi relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire. Cette loi prévoit
deux mesures principales : elle oblige les supermarchés de plus de 400m² à
créer un partenariat avec une association d’aide alimentaire pour faire don des
invendus consommables. Cette loi interdit également aux distributeurs, sous
peine d’une amende de 10.000 Euros, de rendre impropres à la consommation des
invendus encore consommables.
A cette occasion, la Ville de Courbevoie se donne pour objectif
de devenir une ville référence en Europe dans sa lutte contre le gaspillage
alimentaire.
Grâce au maire de Courbevoie, Monsieur Jacques Kossowski, une
charte contre le gaspillage alimentaire vient d’être votée dans notre ville. Le
maire de Courbevoie avait d’ailleurs déjà signé en 2015 notre pétition et
proposition de loi contre le gaspillage alimentaire lorsqu’il était député des
Hauts-de-Seine (https://www.change.org/p/mettons-fin-au-gaspillagealimentaire-en-europe-stopfoodwaste)
Objectif de cette charte : Que tous les supermarchés
courbevoisiens fassent un partenariat avec une association caritative et qu’ils
ne jettent plus les invendus alimentaires. Ainsi, cette charte va au-delà de la
loi de 2016 qui impose aux seuls supermarchés de plus de 400m2 de donner leurs
invendus à une association. La ville de Courbevoie implique donc tous les
supermarchés et c’est une première en Europe !
Cette charte sera applicable dès ce 3 février 2021 à Courbevoie.
C’est une première étape qui va impacter ensuite tous les secteurs d’activités
comme les boulangeries, la restauration scolaire, la restauration collective,
les hôpitaux ou encore les maisons de retraite.
Cette loi française a fait ses preuves. Et nous devons
l’appliquer tant au niveau local qu’au niveau international. Ainsi avec cette
crise sanitaire sans précédent provoquée par le « Coronavirus
Covid-19 », il est plus que nécessaire de développer la solidarité et la
fraternité en France et en Europe.
La Fraternité doit être un des piliers de la construction
européenne car c’est une valeur qui permet aux citoyens européens de se
rapprocher. Cela passe par une entraide alimentaire.
Une loi historique en France contre le « Food Waste »
Face à cette aberration, près de 10 millions de Français n’ont
plus d’argent sur leur compte en banque à la fin de chaque mois et plus de
100 millions d’Européens vivent dans une situation de pauvreté sur le continent
(sources : INSEE et Eurostat).
En France, grâce à la loi, plus de 5000 nouvelles associations
ont bénéficié des invendus alimentaires. Et plus de 10 millions de repas ont
été distribués à des démunis. C’est une hausse de 22% du don alimentaire
(chiffres confirmés par le programme alimentaire mondial des Nations Unies).
C’est une loi efficace qui a été immédiatement applicable et n’a
rien coûté à l’Etat ni aux contribuables.
Mais pour que la loi soit pleinement efficace, elle se doit
d’être européenne… et on ne peut pas se satisfaire de la situation dans
l’Union Européenne aujourd’hui.
Avec cette crise sanitaire, la pauvreté s’est accrue partout en
Europe. Et alors que beaucoup ont du mal à nourrir leurs familles et à
faire face à la crise (étudiants, classe moyenne et retraités notamment),
chaque supermarché, dans l’Union Européenne, continue de jeter plus de 40kg de
nourriture par soir ! Cela correspond à 500€ de nourriture
consommable.
Il faut donc montrer des signes importants et concrets. Ainsi,
que les chefs d’Etat de l’Union Européenne, comme le Président Emmanuel Macron,
demande à étendre la loi sur notre continent en obtenant une directive
européenne contre le gaspillage alimentaire.
L’impact sur le plan européen d’une telle directive permettrait
d’éradiquer une partie de la faim sur notre continent.
Cette directive, à l’image de la loi votée en France ou à
Herstal en Belgique (grâce à Frederic Daerden) est simple : elle obligerait
chaque supermarché à faire don de ses invendus à l’association de son choix.
Elle faciliterait la récupération des invendus consommables d’un supermarché
par des bénévoles. Ces derniers pourraient ensuite les
distribuer immédiatement aux personnes nécessiteuses, notamment les SDF.
Cet encadrement légal Européen aurait trois conséquences :
1) Que chaque citoyen Européen puisse créer une association et
obtenir une habilitation auprès des autorités compétentes.
2) Que chaque citoyen Européen puisse ensuite s’adresser à
l’enseigne de son choix, afin que celle-ci lui remette les invendus pour une
distribution le soir même.
3) Enfin, que si un supermarché refuse, il soit exposé à une
lourde amende. En France, cette amende est de 10.000 € aujourd’hui.
La pétition « Stop au gaspillage
alimentaire en Europe »
soutenue par le Programme Alimentaire Mondial de Nations Unies, La Croix rouge
et Action contre la faim) a déjà dépassé 1,6 millions de signatures. Nous
sommes confortés dans l’idée que les Français et les Européens attendent cette
loi.
Arash Derambarsh est adjoint du Maire dans la ville de Courbevoie et avocat au Barreau de Paris. À l’origine de la loi contre le gaspillage alimentaire en France, il a reçu le prix « Win Win » en 2019 (équivalent du prix Nobel pour le développement durable).
C’est « le premier étage d’une fusée » s’enthousiasme Arash Derambarsh. L’élu de Courbevoie(Hauts-de-Seine) délégué à la Ville verte et durable se réjouit de la signature d’une « Charte d’engagement pour la lutte contre le gaspillage alimentaire dans la grande distribution » par le conseil municipal mercredi 9 décembre 2020.
« Envoyer un message aux 36 000 communes en France »
Le texte prévoit huit engagements pris par l’ensemble des supermarchés installés sur la commune. Il s’inscrit dans la continuité de la loi du 3 février 2016 relative au gaspillage alimentaire. Elle interdit notamment aux grandes surfaces de plus de 400 m2 de jeter de la nourriture et de rendre leurs invendus impropres à la consommation.
Mais à Courbevoie, tous les supermarchés sont concernés, qu’importe leur surface. « Nous demandons ainsi à chaque supermarché de notre ville (plus d’une trentaine) d’appliquer la loi et de les redonner aux associations caritatives (agréés et habilitées par la préfecture) » ajoute l’adjoint.
Selon Arash Derambarsh, c’est une première en France. « L’idée est d’envoyer un message aux 36 000 communes en France : faites appliquer la loi ! »
Les huit engagements signés avec les supermarchés :
1 – Favoriser le don aux associations courbevoisiennes ; 2 – Revoir les dates de péremption des produits proposés à la vente (allongement des périodes de consommation, suppression de la date pour certains produits non périssables) ; 3 – Faire des promotions anti-gaspillage alimentaire notamment pour les produits proches de la date limite de consommation ; 4 – Favoriser le reconditionnement des produits frais abîmés notamment pour les fruits et légumes frais ; 5 – Proposer de la vente en vrac ou à l’unité afin d’adapter les quantités achetées et réduire les emballages ; 6 -Développer des opérations de sensibilisation (opérations “Fruits et Légumes Moches”…) ; 7 – Mener une réflexion avec les fournisseurs afin de définir une stratégie de lutte contre le gaspillage alimentaire (chartes de qualité pour les produits…) ; 8 – Agir pour la valorisation des déchets (biométhanisation…).
Les restaurants, écoles et hôpitaux également visés
Au-delà des supermarchés, la Ville ambitionne de mener une campagne similaire contre le gaspillage auprès des restaurateurs, cantines scolaires, boulangeries, hôpitaux, cliniques ou encore maisons de retraite de la commune. Et les bons élèves pourraient se voir décerner un prix municipal chaque 16 octobre, journée nationale de lutte contre le gaspillage alimentaire.
Marc Simoncini et Arash Derambarsh, deux âmes pressées d’entreprendre et d’agir, ont mis sur les rails – 10 minutes après avoir fait connaissance cet été – le concept de l’application « The Food life », accessible depuis cette semaine sur Apple Store et sur le Play Store de Google.
Marc Simoncini, fondateur du site de rencontres Meetic, décide de réfléchir aux côtés de l’infatigable élu de Courbevoie (Hauts-de-Seine), Arash Derambarsh, à la manière d’amplifier la résonance autour de la loi anti gaspillage alimentaire du 3 février 2016, votée à l’instigation de l’édile. Leur ambition ? Mettre sur pied une application qui maximisera la lutte des supermarchés contre les denrées invendues afin d’assurer « un service après-vente 2.0 de la loi », énonce le politicien engagé. L’objectif étant de cartographier, précisément et en temps réel, le stock de produits frais disponible pour faciliter une collecte des associations caritatives.
Une mise en relation directe entre grandes surfaces et acteurs humanitaires qui change tout.
Depuis lundi, grâce à cette application mobile gratuite et symboliquement dévoilée à l’occasion de la journée mondiale de l’alimentation, The Food Life permet de recenser et de cartographier plus de 7000 supermarchés dans l’Hexagone, dont la superficie est comprise entre 400 et 2500 mètres carrés. Sur cette carte, chaque magasin est figuré par un onglet où apparaissent l’enseigne, l’adresse et un numéro de téléphone. Chacun des gérants peut y préciser le volume de produits frais à distribuer ainsi que l’heure à laquelle ils seront disponibles pour les œuvres de charité. Prochainement, cet outil digital a vocation à s’étendre aux hypermarchés dont la surface est supérieure à 2500 mètres carrés et à répertorier les supérettes de moins de 400 m2, annonce Arash Derambarsh.
Financée sur les deniers personnels de l’entrepreneur
L’homme, qui a fait de la lutte contre le gaspillage alimentaire un thème central de son engagement politique, a permis d’instituer cette loi et de pénaliser les grandes surfaces qui refuseraient de mettre leurs invendus à disposition d’une association agréée. Depuis le 3 février 2016, son non-respect expose à une amende de troisième classe (autour de 70 à 400 euros) et “un distributeur du secteur alimentaire qui rend délibérément impropres à la consommation les invendus alimentaires encore consommables, sans préjudice des dispositions réglementaires relatives à la sécurité sanitaire, est puni d’une amende de 3 750 €”; « cette loi va permettre à 10 millions de Français de pouvoir manger à leur faim », estimait à cette époque son promoteur.
En aparté, Marc Simoncini nous confie humblement que ce n’est pas la première fois qu’il mène de telles actions philanthropiques, mais qu’il préfère rester discret sur le sujet. Aujourd’hui, l’homme d’affaires surprend par sa démarche inhabituelle, car cette fois, il entend bien faire du « bruit » pour mobiliser les professionnels du secteur : « pour les intéresser, il faut aussi que ce soit médiatique », constate l’entrepreneur. Et de conclure : « cela demande du temps car ils ne viennent pas forcément d’eux-mêmes ».
Pour propulser l’application, rien n’a été laissé au hasard. The Food Life a été lancée ce lundi à Lille en présence de responsables du groupe Auchan, basé dans le Nord, et de Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France, un bastion historique de la grande distribution. L’ancien ministre du Travail s’est très volontiers associé à l’initiative pour permettre à un plus grand nombre de personnes d’être touché par l’efficacité de ce dispositif, notamment dans la région qu’il dirige et qui comptabilise, à elle seule, pas moins de 6 millions de repas servis sur 20 millions au niveau national.
Exporter la loi au niveau européen
Après la consécration parlementaire, et conforté par l’arrivée de cette nouvelle application mobile, Arash Derambarsh veut à présent faire vivre la loi au-delà de nos frontières. L’élu des Hauts-de-Seine mène désormais campagne pour que la législation anti gaspillage alimentaire soit généralisée et devienne une directive européenne. Il a déjà recueilli 910 000 signatures en ce sens et espère atteindre symboliquement le million d’ici décembre.
Par Dominique Busso et Sabah Kemel Kaddouri (FORBES Magazine)
Arash Derambarsh (élu de Courbevoie à l’origine de la loi contre le gaspillage alimentaire) et Marc Simoncini, entrepreneur (fondateur de Meetic, du fonds d’investissement Jaïna, du site d’optique à bas prix Sensee) lancent l’application « The Food Life ».
Cette application sera accessible gratuitement et aidera des millions de gens à manger.
Elle va permettre l’application concrète de la loi contre le gaspillage alimentaire, votée à l’unanimité le 3 février 2016. Une première dans le monde.
Depuis ce vote, plus de 5000 nouvelles associations ont bénéficié des invendus alimentaires consommables. Et plus de 10 millions de repas ont été distribués à des démunis.
Une loi est simple et efficace, imposant, ou incitant aux supermarchés de donner, soir après soir, tous leurs invendus consommables à l’association de leur choix.
1) Chaque citoyen peut créer une association et déposer ses statuts à la préfecture afin d’y obtenir une habilitation..
2) Celui-ci pourra ensuite s’adresser à l’enseigne de son choix dans sa commune, afin que celle-ci lui remette les invendus pour une distribution le soir même.
3) Et si un supermarché refuse, c’est une peine d’amende de 3750 €.
Or, tous les supermarchés ne jouent pas encore le jeu. Cette application va donc permettre d’accélérer le processus et de mettre en contact tous les supermarchés, les associations et les citoyens.
Concrètement, une carte virtuelle interactive va permettre d’afficher tous les supermarchés.
Il suffira de cliquer sur un supermarché et d’obtenir les coordonnées des associations habilitées avec lesquelles il collabore.
Si aucune information n’est intégrée, cela signifie que soit le supermarché n’a toujours pas intégré les informations, soit qu’il n’a tout simplement pas contracté de partenariat avec une association.
L’application « The Food Life » sera donc utile aux :
– Supermarchés : via un back office, ceux-ci pourront renseigner les coordonnées des associations avec lesquelles ils collaborent
– Associations : ils pourront géolocaliser les supermarchés à contacter pour mettre en place le partenariat
– Citoyens : savoir où récupérer les invendus alimentaires consommables
…pour sa croisade contre le gaspillage alimentaire, avait porté plainte pour diffamation à l’encontre de Laurent Joffrin, directeur de la publication de Libération, après que le quotidien eut relayé sur son site internet une enquête des Inrocks le qualifiant « d’imposture ».
Lundi 24 juillet, Martine Mazé-Barthot, la juge d’instruction en charge du dossier, a décidé de mettre en examen Laurent Joffrin et de le renvoyer devant la 17eme chambre correctionnelle du tribunal de Grande instance de Paris pour diffamation publique à l’égard d’un particulier.
Une interminable file d’attente… La distribution gratuite de fournitures scolaires ouverte à tous les habitants de Courbevoie a attiré, ce mercredi, plusieurs centaines de personnes, place de Saverne.
Lancée l’année dernière par le conseiller municipal (LR) de Courbevoie, Arash Derambarsh, cette initiative permet aux parents de partir en vacances l’esprit plus léger car ce qui coûte le plus cher : c’est le cartable. « C’est un soulagement pour beaucoup de famille », lance Said, responsable dans une maison de quartier à Courbevoie. « Je suis venue pendant ma pause déjeuner, mais je ne pensais pas qu’il y aura autant de monde » s’inquiète Céline.
C’est près de 100 € de fournitures scolaires qui sont offerts par des partenaires privés, et certains ne renoncent pas à cette aide. « Nous sommes dans une situation un peu difficile mon conjoint et moi ces derniers temps, j’ai été licenciée économique il y a deux mois, donc cette opération, c’est un vrai coup de pouce », raconte Julie 38 ans
« C’est toujours ça de gagné, surtout quand on a 4 enfants, renchérit Saida 40 ans, cadre dans les assurances. Moi, je ne suis pas particulièrement dans le besoin, mais la facture est souvent très salée à la rentrée… » Les organisateurs prévoient déjà de distribuer entre 1000 et 1500 cartables l’année prochaine.
Arash Derambarsh était l’invité du sommet de la FAO aux Nations Unies.
Réunion de travail entre Arash Derambarsh et Vytenis Andriukaitis (commissaire européen chargé de la sécurité alimentaire).
Nous aurons bientôt une législation contre le gaspillage alimentaire en Europe. Pour aider les millions de personnes qui ont faim sur notre continent !
Voyage au cœur d’un système français : l’agroalimentaire.
Un puissant système qui crée du gaspillage alimentaire, de la surproduction, de la malnutrition et de la pollution. En 2017, l’agriculture française est entre les mains des lobbies (Lactalis, Bigard, Monsanto, Bayer).
Conséquences : une utilisation intensive de pesticides, des pratiques choquantes dans la grande distribution, des organisations syndicales et coopératives qui enfoncent un peu plus les paysans dans la misère. L’agriculture française est prête à exploser !
Ce livre est un plaidoyer et une enquête qui dénonce et apporte des solutions.
Préface de Brigitte Gothière, cofondatrice de l’association L214.
Arash Derambarsh, né à Paris en 1979, est éditeur, docteur en droit et futur avocat. Conseiller municipal Les Républicains à Courbevoie, il est à l’origine de la loi contre le gaspillage alimentaire votée à l’unanimité le 3 février 2016 qui oblige les supermarchés à donner leurs invendus alimentaires aux associations. Le magazine américain Foreign Policy l’a classé dans les 100 personnalités les plus influentes dans le monde en 2016. Il est l’auteur du Manifeste contre le gaspillage (Fayard), prix Edgar-Faure du livre politique 2015.
Journaliste au Figaro depuis près de dix-huit ans, Éric de La Chesnais y est responsable de la rubrique Agriculture, une activité qu’il connaît bien puisqu’il la pratique dans une ferme de l’Ouest après avoir été diplômé de l’École supérieure d’agriculture d’Angers (ESA) en 2007.
Discours d’Arash Derambarsh au TEDx Los Angeles devant 3000 personnes au Dolby Theatre (Hollywood Boulevard).
Arash Derambarsh shares in this talk how he identified the cause of food waste in his native France, and after many efforts managed to get a law adopted forcing supermarkets to donate unwanted food to charity.
His talk is a personal narrative of how he came to realize the paradox of food waste and hunger and to understand what hunger meant.
Arash Derambarsh is a councilor in France, whose campaign against food waste led to a law forcing French supermarkets to donate unwanted food to charity has set his sights on getting similar legislation passed globally.
Arash Derambarsh declares it “scandalous and absurd” that food is wasted and in some cases deliberately spoiled while the homeless, poor and unemployed go hungry.
This talk was given at a TEDx event using the TED conference format but independently organized by a local community.
Arash Derambarsh was classified in the 100 world personalities of the year 2016 by the magazine Foreign Policy.
Avant de vous souhaiter tous mes vœux de Bonne Année, voici notre année 2016 en 20 photos.
En février dernier, nous avons fait plier la grande distribution grâce à la loi contre le gaspillage alimentaire qui permet, aujourd’hui, à plus de 10 millions de personnes de manger. Puis, nous avons voyagé dans plus de 20 pays pour promouvoir cette loi. Nous avons rencontré des visages inoubliables.
À Courbevoie, nous avons eu l’honneur de célébrer de nombreux mariages, et avons distribué des milliers de cartables et fournitures scolaires pour que nos jeunes étudient mieux.
Nous avons aussi aidé notre équipe de football afin qu’elle devienne plus performante.
Au final, la morale de toute cette action est que la France n’est forte que si elle envoie un message de Fraternité et de bienveillance.
Nous continuerons à agir en 2017 pour l’intérêt de tous, avec votre soutien.
Né en 1979 à Paris, Arash Derambarsh est Docteur en droit et avocat au Barreau de Paris.
Arash Derambarsh s'est engagé très tôt en politique. Conseiller municipal Les Républicains depuis mars 2014 à Courbevoie, il est à l'origine de la loi contre le gaspillage alimentaire votée à l'unanimité le 3 février 2016 qui oblige les supermarchés à donner leurs invendus alimentaires aux associations. Le magazine américain Foreign Policy l'a classé dans les 100 personnalités les plus influentes dans le monde en 2016. Il est l'auteur du Manifeste contre le gaspillage (Fayard), prix Edgar-Faure du meilleur livre politique de l'année 2015.
En 2017, Arash Derambarsh a publié aux éditions Plon "Agriculteurs, les raisons d'un désespoir" (co-écrit avec Eric de la Chesnais, chef du service "agriculture" au Figaro).
Enfin, il publie en 2019 aux éditions du cherche midi son livre "Tomber 9 fois, se relever 10" qui parle de son parcours scolaire.
Livre Arash Derambarsh « Manifeste contre le gaspillage »
Livre Arash Derambarsh « Agriculteurs, les raisons d’un désespoir »
Linkedin – Arash Derambarsh
Livre numérique
Je milite pour le livre numérique. Voici ma tribune dans le journal Le Monde.
Nous voici dans un tournant historique en matière de support pour l'écriture. Mais le conservatisme et le pessimisme demeurent.
Pourtant, dans ce virage unique, voici un bras de fer inédit entre le conservatisme et le modernisme. Ce modernisme, des sociétés telles que Google ou Amazon veulent l'imposer pour certains, la proposer pour d'autres.
Car, en effet, il s'agit de 200 000 titres en anglais et de journaux dans plusieurs langues. Voilà ce que propose le vendeur américain de livres sur Internet Amazon. Quant à Google, ce dernier ne fait pas les choses à moitié. Le géant de la recherche sur Internet va lancer sa librairie numérique au premier semestre 2010, en Europe, en proposant d'emblée quelque 500 000 titres aux internautes. Des partenariats avec des éditeurs sont, par ailleurs, signés pour deux millions d'ouvrages.
En France, la grande majorité des éditeurs contestent le comportement de Google. Le Syndicat national des éditeurs français (SNE) et le groupe La Martinière, appuyé par Gallimard et Flammarion, poursuivent actuellement le géant de l'Internet pour contrefaçon. De surcroît, la chancelière allemande, Angela Merkel, a condamné Google Editions. Elle défend, à juste titre, la protection des droits d'auteur sur Internet. Elle rejette, par ailleurs, la numérisation des ouvrages de bibliothèque si on ne tient pas compte de cette protection, comme le fait Google.
Il s'agit donc de protéger la propriété littéraire, car sans auteurs, pas de livres. Les éditeurs français exigent de Google le respect de la loi, et ils ont raison. Toutefois, le livre électronique est une chance. Il apporte une réponse pratique. En effet, le Kindle, livre électronique d'Amazon, peut télécharger 1 500 ouvrages. Pour le cartable des étudiants, c'est une réponse exceptionnelle. De plus, la nouvelle génération pourra beaucoup plus facilement se familiariser avec les classiques.
Par ailleurs, ce marché est rentable pour un secteur d'activité qui est à bout de souffle. Cependant, il s'agit de sauvegarder les libraires et les points de vente. Pourquoi, d'ailleurs, ne pas les adapter rapidement au numérique ? En France, après une longue période d'immobilisme, les choses commencent à évoluer. La Fnac, par exemple, a annoncé avoir vendu 40 000 livres au format numérique, et propose désormais 30 000 titres sur son site. Mais c'est tout le secteur de la distribution qu'il va falloir réformer et adapter.
L'Union européenne et le G20 doivent donc se saisir de cette question. Le téléchargement est mondial et n'a pas de frontières. De même que les Etats doivent contrôler la mondialisation et non la subir. Le secteur musical n'avait pas vu venir le tsunami Internet, et son économie a vacillé. Il faut donc développer une offre légale, payante, et ne pas subir ce qu'a connu le monde du disque. Le politique doit jouer son rôle et imposer un prix unique du livre numérique afin de sauver les acquis des auteurs.
Enfin, on se trompe si l'on considère le livre papier comme sacré. Le papier et le livre électronique cohabiteront un temps, mais, à l'heure du numérique, les générations futures s'en passeront sans problème. Aux éditeurs de prendre leur destin en main afin de prévoir l'avenir.