Je suis né le 25 juillet 1979 à Paris 13e. Je vis à Courbevoie depuis l’âge de six ans.
Mes parents ont fui le régime islamiste afin que mon frère jumeau et moi puissions grandir dans la Démocratie, la Laïcité et la République.
Je n’ai pas grandi avec une cuillère d’argent dans la bouche mais avec beaucoup d’amour et de valeurs.
Je me lance en politique à l’occasion d’un meeting organisé pour les 20 ans du RPR.
Je travaille successivement au Ministère des Affaires étrangères (Direction Asie-Océanie 2003-04), au Ministère de l’intérieur sous Nicolas Sarkozy (2005) et je deviens assistant parlementaire du Député Michel Hunault (Loire-Atlantique) de 2005 à 2006.
Conseiller National UDF de 2003 à 2007, je publie un livre en 2006 chez Ramsay préfacé par Jean-François Achilli (Chef du service politique de France Inter) : « Comment peut-on être de droite aujourd’hui ? ».
Je travaille actuellement au Cherche Midi éditeur. J’ai la chance de travailler dans une maison d’édition qui donne la parole à des gens qui font bouger les lignes, même si elle ne partage pas toujours leurs opinions.
J’en profite pour mener des combats dont celui pour le livre numérique.
J’ai des convictions et je m’intéresse à la politique internationale comme la politique américaine ou iranienne.
Impliqué dans ma ville, je suis conseiller municipal à Courbevoie.
Ma citation : « ce n’est pas parce que les choses nous semblent inaccessibles que nous n’osons pas…c’est parce que nous n’osons pas qu’elles nous semblent inaccessibles » (SÉNÈQUE).
En 2019, je publie publie mon 4ème livre intitulé « Tomber 9 fois, se relever 10 » (cherche midi éditeur). Ce livre revient sur mon parcours scolaire : 9 redoublements, un échec au Brevet des collèges avant de devenir Docteur en droit et Avocat).
Bonjour Mr Arash,
j’ ai vu le très beau travail que vous avez fait pour lutter contre le gâchis alimentaire et là j’ai vu que vous avez un blog,alors je tenais à vous dire un Grand Bravo pour votre combat contre ce gâchis .C’est très bien ce que vous faites.Vous avez mon soutien,je vous connais pas trop, c’est par des textes dans le site de Frédéric Lefebvre (dont j’apprécie beaucoup) que j’ai su ce que vous faites et vos combats,bravo!
D’ailleurs,j’apporte souvent mon soutien à Frédéric Lefebvre qui fait vraiment du magnifique travail,et pour cette loi dont il faut arriver qu’elle soit votée.
j’espère que cette fois la loi contre le gaspillage alimentaire sera adoptée,c’est très important.
Je regarderais un peu plus longtemps votre blog,dès que j’ai plus de temps,çà a l’air intéressant;
Né en 1979 à Paris, Arash Derambarsh est Docteur en droit et avocat au Barreau de Paris.
Arash Derambarsh s'est engagé très tôt en politique. Conseiller municipal Les Républicains depuis mars 2014 à Courbevoie, il est à l'origine de la loi contre le gaspillage alimentaire votée à l'unanimité le 3 février 2016 qui oblige les supermarchés à donner leurs invendus alimentaires aux associations. Le magazine américain Foreign Policy l'a classé dans les 100 personnalités les plus influentes dans le monde en 2016. Il est l'auteur du Manifeste contre le gaspillage (Fayard), prix Edgar-Faure du meilleur livre politique de l'année 2015.
En 2017, Arash Derambarsh a publié aux éditions Plon "Agriculteurs, les raisons d'un désespoir" (co-écrit avec Eric de la Chesnais, chef du service "agriculture" au Figaro).
Enfin, il publie en 2019 aux éditions du cherche midi son livre "Tomber 9 fois, se relever 10" qui parle de son parcours scolaire.
Livre Arash Derambarsh « Manifeste contre le gaspillage »
Livre Arash Derambarsh « Agriculteurs, les raisons d’un désespoir »
Linkedin – Arash Derambarsh
Livre numérique
Je milite pour le livre numérique. Voici ma tribune dans le journal Le Monde.
Nous voici dans un tournant historique en matière de support pour l'écriture. Mais le conservatisme et le pessimisme demeurent.
Pourtant, dans ce virage unique, voici un bras de fer inédit entre le conservatisme et le modernisme. Ce modernisme, des sociétés telles que Google ou Amazon veulent l'imposer pour certains, la proposer pour d'autres.
Car, en effet, il s'agit de 200 000 titres en anglais et de journaux dans plusieurs langues. Voilà ce que propose le vendeur américain de livres sur Internet Amazon. Quant à Google, ce dernier ne fait pas les choses à moitié. Le géant de la recherche sur Internet va lancer sa librairie numérique au premier semestre 2010, en Europe, en proposant d'emblée quelque 500 000 titres aux internautes. Des partenariats avec des éditeurs sont, par ailleurs, signés pour deux millions d'ouvrages.
En France, la grande majorité des éditeurs contestent le comportement de Google. Le Syndicat national des éditeurs français (SNE) et le groupe La Martinière, appuyé par Gallimard et Flammarion, poursuivent actuellement le géant de l'Internet pour contrefaçon. De surcroît, la chancelière allemande, Angela Merkel, a condamné Google Editions. Elle défend, à juste titre, la protection des droits d'auteur sur Internet. Elle rejette, par ailleurs, la numérisation des ouvrages de bibliothèque si on ne tient pas compte de cette protection, comme le fait Google.
Il s'agit donc de protéger la propriété littéraire, car sans auteurs, pas de livres. Les éditeurs français exigent de Google le respect de la loi, et ils ont raison. Toutefois, le livre électronique est une chance. Il apporte une réponse pratique. En effet, le Kindle, livre électronique d'Amazon, peut télécharger 1 500 ouvrages. Pour le cartable des étudiants, c'est une réponse exceptionnelle. De plus, la nouvelle génération pourra beaucoup plus facilement se familiariser avec les classiques.
Par ailleurs, ce marché est rentable pour un secteur d'activité qui est à bout de souffle. Cependant, il s'agit de sauvegarder les libraires et les points de vente. Pourquoi, d'ailleurs, ne pas les adapter rapidement au numérique ? En France, après une longue période d'immobilisme, les choses commencent à évoluer. La Fnac, par exemple, a annoncé avoir vendu 40 000 livres au format numérique, et propose désormais 30 000 titres sur son site. Mais c'est tout le secteur de la distribution qu'il va falloir réformer et adapter.
L'Union européenne et le G20 doivent donc se saisir de cette question. Le téléchargement est mondial et n'a pas de frontières. De même que les Etats doivent contrôler la mondialisation et non la subir. Le secteur musical n'avait pas vu venir le tsunami Internet, et son économie a vacillé. Il faut donc développer une offre légale, payante, et ne pas subir ce qu'a connu le monde du disque. Le politique doit jouer son rôle et imposer un prix unique du livre numérique afin de sauver les acquis des auteurs.
Enfin, on se trompe si l'on considère le livre papier comme sacré. Le papier et le livre électronique cohabiteront un temps, mais, à l'heure du numérique, les générations futures s'en passeront sans problème. Aux éditeurs de prendre leur destin en main afin de prévoir l'avenir.
heim valérie
Bonjour Mr Arash,
j’ ai vu le très beau travail que vous avez fait pour lutter contre le gâchis alimentaire et là j’ai vu que vous avez un blog,alors je tenais à vous dire un Grand Bravo pour votre combat contre ce gâchis .C’est très bien ce que vous faites.Vous avez mon soutien,je vous connais pas trop, c’est par des textes dans le site de Frédéric Lefebvre (dont j’apprécie beaucoup) que j’ai su ce que vous faites et vos combats,bravo!
D’ailleurs,j’apporte souvent mon soutien à Frédéric Lefebvre qui fait vraiment du magnifique travail,et pour cette loi dont il faut arriver qu’elle soit votée.
j’espère que cette fois la loi contre le gaspillage alimentaire sera adoptée,c’est très important.
Je regarderais un peu plus longtemps votre blog,dès que j’ai plus de temps,çà a l’air intéressant;
cordialement