Le site d’information « WikiaAgri » (dédié au monde agricole et à l’univers agro-alimentaire) a publié un article fondé sur l’enquête d’investigation du site d’information le « Courrier de l’Atlas » .
Le site d’information « WikiaAgri » rappelle qu’Arash Derambarsh est le premier avocat de France à avoir gagné un procès de l’agribashing en faveur de l’agriculteur contre son agresseur.
L’article rappelle qu’Arash Derambarsh a récemment été mis en cause, accusé de plagiat pour sa thèse de droit. Aujourd’hui, à la faveur de cette enquête journalistique qui montre les défaillances de cette accusation, il contre-attaque, et porte plainte.
Une longue enquête du «Courrier de l’Atlas » disculpe Arash Derambarsh de toute responsabilité concernant l’affaire du supposé plagiat de sa thèse. Cette enquête édifiante du journaliste Yassir Guelzim met en lumière des dysfonctionnements importants de l’Université Paris 1 la Sorbonne et confirme sa mauvaise foi.
Le 11 décembre 2015 Arash
Derambarsh soutenait sa thèse, qui était validée par les directeurs de l’école
doctorale eux-mêmes (NDLR : François-Guy Trébulle et Patrice Jourdain).
Dans l’enquête précitée,
nous apprenons que :
– C’est l’école doctorale
de la Sorbonne qui a pris la décision de rendre l’accès à la thèse confidentiel
jusqu’en 2047 et a elle-même signé cette décision. La signature d’Arash
Derambarsh et des membres de son jury ne s’y trouve pas.
– Lors du conseil disciplinaire,
de nombreuses pièces ont été écartés de façon curieuse et arbitraire par le
rapporteur Jérôme Glachant et ses membres : l’attestation de témoins prétextant
que certains habitent dans la même ville que Monsieur Derambarsh (ndlr :
Courbevoie), un constat d’huissier pour prouver la bonne version et des
témoignages.
– Après avoir analysé sa
thèse, le « Courrier de l’Atlas » confirmera qu’il n’y a pas de plagiat mais
des erreurs méthodologiques et un manque patent de formation.
– Fait étonnant :
l’enquête du « Courrier de l’Atlas » affirmera que l’Université Paris 1 La
Sorbonne est coutumière des dysfonctionnements puisque 300 thèses ne sont
toujours pas enregistrées à cause d’une défaillance informatique de son école
doctorale.
– Enfin et surtout, le «
Courrier de l’Atlas » pointe du doigt le rôle d’un compte Twitter délateur
(Thèse et Synthèse), créé avant le premier tour des élections municipales.
Celui-ci ayant fait
pression sur l’Université de Paris 1 La Sorbonne et le maire de Courbevoie,
Jacques Kossowski, en publiant plus de 1000 tweets à l’encontre d’Arash
Derambarsh. Des tweets alternant souvent diffamation, cyberharcèlement et
atteinte à des données personnelles.
Le « Courrier de l’Atlas
» affirme que se cachent derrière ce compte anonyme deux professeurs et un
opposant politique local LAREM à Courbevoie.
Arash Derambarsh confirme
avoir déposé une plainte et une enquête de la police judiciaire est en cours.
Né en 1979 à Paris, Arash Derambarsh est Docteur en droit et avocat au Barreau de Paris.
Arash Derambarsh s'est engagé très tôt en politique. Conseiller municipal Les Républicains depuis mars 2014 à Courbevoie, il est à l'origine de la loi contre le gaspillage alimentaire votée à l'unanimité le 3 février 2016 qui oblige les supermarchés à donner leurs invendus alimentaires aux associations. Le magazine américain Foreign Policy l'a classé dans les 100 personnalités les plus influentes dans le monde en 2016. Il est l'auteur du Manifeste contre le gaspillage (Fayard), prix Edgar-Faure du meilleur livre politique de l'année 2015.
En 2017, Arash Derambarsh a publié aux éditions Plon "Agriculteurs, les raisons d'un désespoir" (co-écrit avec Eric de la Chesnais, chef du service "agriculture" au Figaro).
Enfin, il publie en 2019 aux éditions du cherche midi son livre "Tomber 9 fois, se relever 10" qui parle de son parcours scolaire.
Livre Arash Derambarsh « Manifeste contre le gaspillage »
Livre Arash Derambarsh « Agriculteurs, les raisons d’un désespoir »
Linkedin – Arash Derambarsh
Livre numérique
Je milite pour le livre numérique. Voici ma tribune dans le journal Le Monde.
Nous voici dans un tournant historique en matière de support pour l'écriture. Mais le conservatisme et le pessimisme demeurent.
Pourtant, dans ce virage unique, voici un bras de fer inédit entre le conservatisme et le modernisme. Ce modernisme, des sociétés telles que Google ou Amazon veulent l'imposer pour certains, la proposer pour d'autres.
Car, en effet, il s'agit de 200 000 titres en anglais et de journaux dans plusieurs langues. Voilà ce que propose le vendeur américain de livres sur Internet Amazon. Quant à Google, ce dernier ne fait pas les choses à moitié. Le géant de la recherche sur Internet va lancer sa librairie numérique au premier semestre 2010, en Europe, en proposant d'emblée quelque 500 000 titres aux internautes. Des partenariats avec des éditeurs sont, par ailleurs, signés pour deux millions d'ouvrages.
En France, la grande majorité des éditeurs contestent le comportement de Google. Le Syndicat national des éditeurs français (SNE) et le groupe La Martinière, appuyé par Gallimard et Flammarion, poursuivent actuellement le géant de l'Internet pour contrefaçon. De surcroît, la chancelière allemande, Angela Merkel, a condamné Google Editions. Elle défend, à juste titre, la protection des droits d'auteur sur Internet. Elle rejette, par ailleurs, la numérisation des ouvrages de bibliothèque si on ne tient pas compte de cette protection, comme le fait Google.
Il s'agit donc de protéger la propriété littéraire, car sans auteurs, pas de livres. Les éditeurs français exigent de Google le respect de la loi, et ils ont raison. Toutefois, le livre électronique est une chance. Il apporte une réponse pratique. En effet, le Kindle, livre électronique d'Amazon, peut télécharger 1 500 ouvrages. Pour le cartable des étudiants, c'est une réponse exceptionnelle. De plus, la nouvelle génération pourra beaucoup plus facilement se familiariser avec les classiques.
Par ailleurs, ce marché est rentable pour un secteur d'activité qui est à bout de souffle. Cependant, il s'agit de sauvegarder les libraires et les points de vente. Pourquoi, d'ailleurs, ne pas les adapter rapidement au numérique ? En France, après une longue période d'immobilisme, les choses commencent à évoluer. La Fnac, par exemple, a annoncé avoir vendu 40 000 livres au format numérique, et propose désormais 30 000 titres sur son site. Mais c'est tout le secteur de la distribution qu'il va falloir réformer et adapter.
L'Union européenne et le G20 doivent donc se saisir de cette question. Le téléchargement est mondial et n'a pas de frontières. De même que les Etats doivent contrôler la mondialisation et non la subir. Le secteur musical n'avait pas vu venir le tsunami Internet, et son économie a vacillé. Il faut donc développer une offre légale, payante, et ne pas subir ce qu'a connu le monde du disque. Le politique doit jouer son rôle et imposer un prix unique du livre numérique afin de sauver les acquis des auteurs.
Enfin, on se trompe si l'on considère le livre papier comme sacré. Le papier et le livre électronique cohabiteront un temps, mais, à l'heure du numérique, les générations futures s'en passeront sans problème. Aux éditeurs de prendre leur destin en main afin de prévoir l'avenir.