Arash Derambarsh est éditeur depuis près de 20 ans (éditions Laffont, Ramsay et cherche midi). Il est en charge des départements politique, personnalités publiques et des documents. Il s’est rapidement engagé pour le livre numérique ou la publicité des livres à la télévision.
Voici ses nombreuses interventions dans les médias concernant son travail.
Arash Derambarsh (élu de Courbevoie à l’origine de la loi contre le gaspillage alimentaire) et Marc Simoncini, entrepreneur (fondateur de Meetic, du fonds d’investissement Jaïna, du site d’optique à bas prix Sensee) lancent l’application « The Food Life ».
Cette application sera accessible gratuitement et aidera des millions de gens à manger.
Elle va permettre l’application concrète de la loi contre le gaspillage alimentaire, votée à l’unanimité le 3 février 2016. Une première dans le monde.
Depuis ce vote, plus de 5000 nouvelles associations ont bénéficié des invendus alimentaires consommables. Et plus de 10 millions de repas ont été distribués à des démunis.
Une loi est simple et efficace, imposant, ou incitant aux supermarchés de donner, soir après soir, tous leurs invendus consommables à l’association de leur choix.
1) Chaque citoyen peut créer une association et déposer ses statuts à la préfecture afin d’y obtenir une habilitation..
2) Celui-ci pourra ensuite s’adresser à l’enseigne de son choix dans sa commune, afin que celle-ci lui remette les invendus pour une distribution le soir même.
3) Et si un supermarché refuse, c’est une peine d’amende de 3750 €.
Or, tous les supermarchés ne jouent pas encore le jeu. Cette application va donc permettre d’accélérer le processus et de mettre en contact tous les supermarchés, les associations et les citoyens.
Concrètement, une carte virtuelle interactive va permettre d’afficher tous les supermarchés.
Il suffira de cliquer sur un supermarché et d’obtenir les coordonnées des associations habilitées avec lesquelles il collabore.
Si aucune information n’est intégrée, cela signifie que soit le supermarché n’a toujours pas intégré les informations, soit qu’il n’a tout simplement pas contracté de partenariat avec une association.
L’application « The Food Life » sera donc utile aux :
– Supermarchés : via un back office, ceux-ci pourront renseigner les coordonnées des associations avec lesquelles ils collaborent
– Associations : ils pourront géolocaliser les supermarchés à contacter pour mettre en place le partenariat
– Citoyens : savoir où récupérer les invendus alimentaires consommables
Arash Derambarsh : « Il faut une loi en Europe contre le gaspillage alimentaire » – I24 News
Tous les jours, de 7h à 9h, Valérie Perez et ses invités décortiquent les actualités d’ici et d’ailleurs dans Good Morning Tel-Aviv, sur I24NEWS.
Au sommaire de cette édition: L’essentiel de l’actualité avec Samuel Calvo. L’armée de l’air israélienne a frappé un centre de développement d’armes chimiques à l’Est de la Syrie. Le point sur le gaspillage alimentaire dans le monde. Focus sur les jeunes Européens qui restaurent le cimetière juif de Varsovie. Culture : La première exposition de Louise Bourgeois en Israël se tient ce jeudi au Musée d’art de Tel-Aviv.
Avec : Michael Horowitz, spécialiste du monde arabe. Arash Derambarsh, conseiller municipal à Courbevoie. Eric Haldezos, Sarah Jamy et Sandy Fortis, journalistes i24NEWS.
Arash Derambarsh, Courbevoie 3.0, Dentsu Aegis et BFG Capital distribuent des cartables aux enfants de Courbevoie pour la rentrée scolaire
Distribution de cartables et fournitures scolaires à Courbevoie 2017. Opération « Rentrée pour tous à Courbevoie » organisée par Arash Derambarsh, Courbevoie 3.0, BFG Capital, Dentsu Aegis, Oxford et Piccolia.
…pour sa croisade contre le gaspillage alimentaire, avait porté plainte pour diffamation à l’encontre de Laurent Joffrin, directeur de la publication de Libération, après que le quotidien eut relayé sur son site internet une enquête des Inrocks le qualifiant « d’imposture ».
Lundi 24 juillet, Martine Mazé-Barthot, la juge d’instruction en charge du dossier, a décidé de mettre en examen Laurent Joffrin et de le renvoyer devant la 17eme chambre correctionnelle du tribunal de Grande instance de Paris pour diffamation publique à l’égard d’un particulier.
Une interminable file d’attente… La distribution gratuite de fournitures scolaires ouverte à tous les habitants de Courbevoie a attiré, ce mercredi, plusieurs centaines de personnes, place de Saverne.
Lancée l’année dernière par le conseiller municipal (LR) de Courbevoie, Arash Derambarsh, cette initiative permet aux parents de partir en vacances l’esprit plus léger car ce qui coûte le plus cher : c’est le cartable. « C’est un soulagement pour beaucoup de famille », lance Said, responsable dans une maison de quartier à Courbevoie. « Je suis venue pendant ma pause déjeuner, mais je ne pensais pas qu’il y aura autant de monde » s’inquiète Céline.
C’est près de 100 € de fournitures scolaires qui sont offerts par des partenaires privés, et certains ne renoncent pas à cette aide. « Nous sommes dans une situation un peu difficile mon conjoint et moi ces derniers temps, j’ai été licenciée économique il y a deux mois, donc cette opération, c’est un vrai coup de pouce », raconte Julie 38 ans
« C’est toujours ça de gagné, surtout quand on a 4 enfants, renchérit Saida 40 ans, cadre dans les assurances. Moi, je ne suis pas particulièrement dans le besoin, mais la facture est souvent très salée à la rentrée… » Les organisateurs prévoient déjà de distribuer entre 1000 et 1500 cartables l’année prochaine.
Arash Derambarsh, conseiller municipal de la ville de Courbevoie et membre de « Courbevoie Sports Football » revient sur la saison de son équipe et la montée en Régional 3 (DHR).
Gaspillage alimentaire : Arash Derambarsh en Russie invité du SPIEF Saint Petersbourg.
Invité du Forum Économique International de St. Petersbourg (Russie), Arash Derambarsh a valorisé devant plus de 200 personnes (politiques, journalistes, Banque alimentaire Russe) la loi française contre le gaspillage alimentaire.
Plus de 30 millions de personnes vivent en Russie dans une grande pauvreté et cette loi pourra les aider à manger…
Interview Arash Derambarsh dans le Dauphiné Libéré
Arash Derambarsh était à Chambéry, aux côtés du chef étoilé Julien Machet (Le Farçon) et les chefs de Cœur pour reverser 18.000 euros à la Banque alimentaire.
Arash Derambarsh : « Pour siphonner le FN, il ne faut pas diviser mais faire son travail d’élu. Il faut faire appliquer les droits, les devoirs et les obligations »
Arash Derambarsh était l’invité du sommet de la FAO aux Nations Unies.
Réunion de travail entre Arash Derambarsh et Vytenis Andriukaitis (commissaire européen chargé de la sécurité alimentaire).
Nous aurons bientôt une législation contre le gaspillage alimentaire en Europe. Pour aider les millions de personnes qui ont faim sur notre continent !
Né en 1979 à Paris, Arash Derambarsh est Docteur en droit et avocat au Barreau de Paris.
Arash Derambarsh s'est engagé très tôt en politique. Conseiller municipal Les Républicains depuis mars 2014 à Courbevoie, il est à l'origine de la loi contre le gaspillage alimentaire votée à l'unanimité le 3 février 2016 qui oblige les supermarchés à donner leurs invendus alimentaires aux associations. Le magazine américain Foreign Policy l'a classé dans les 100 personnalités les plus influentes dans le monde en 2016. Il est l'auteur du Manifeste contre le gaspillage (Fayard), prix Edgar-Faure du meilleur livre politique de l'année 2015.
En 2017, Arash Derambarsh a publié aux éditions Plon "Agriculteurs, les raisons d'un désespoir" (co-écrit avec Eric de la Chesnais, chef du service "agriculture" au Figaro).
Enfin, il publie en 2019 aux éditions du cherche midi son livre "Tomber 9 fois, se relever 10" qui parle de son parcours scolaire.
Livre Arash Derambarsh « Manifeste contre le gaspillage »
Livre Arash Derambarsh « Agriculteurs, les raisons d’un désespoir »
Linkedin – Arash Derambarsh
Livre numérique
Je milite pour le livre numérique. Voici ma tribune dans le journal Le Monde.
Nous voici dans un tournant historique en matière de support pour l'écriture. Mais le conservatisme et le pessimisme demeurent.
Pourtant, dans ce virage unique, voici un bras de fer inédit entre le conservatisme et le modernisme. Ce modernisme, des sociétés telles que Google ou Amazon veulent l'imposer pour certains, la proposer pour d'autres.
Car, en effet, il s'agit de 200 000 titres en anglais et de journaux dans plusieurs langues. Voilà ce que propose le vendeur américain de livres sur Internet Amazon. Quant à Google, ce dernier ne fait pas les choses à moitié. Le géant de la recherche sur Internet va lancer sa librairie numérique au premier semestre 2010, en Europe, en proposant d'emblée quelque 500 000 titres aux internautes. Des partenariats avec des éditeurs sont, par ailleurs, signés pour deux millions d'ouvrages.
En France, la grande majorité des éditeurs contestent le comportement de Google. Le Syndicat national des éditeurs français (SNE) et le groupe La Martinière, appuyé par Gallimard et Flammarion, poursuivent actuellement le géant de l'Internet pour contrefaçon. De surcroît, la chancelière allemande, Angela Merkel, a condamné Google Editions. Elle défend, à juste titre, la protection des droits d'auteur sur Internet. Elle rejette, par ailleurs, la numérisation des ouvrages de bibliothèque si on ne tient pas compte de cette protection, comme le fait Google.
Il s'agit donc de protéger la propriété littéraire, car sans auteurs, pas de livres. Les éditeurs français exigent de Google le respect de la loi, et ils ont raison. Toutefois, le livre électronique est une chance. Il apporte une réponse pratique. En effet, le Kindle, livre électronique d'Amazon, peut télécharger 1 500 ouvrages. Pour le cartable des étudiants, c'est une réponse exceptionnelle. De plus, la nouvelle génération pourra beaucoup plus facilement se familiariser avec les classiques.
Par ailleurs, ce marché est rentable pour un secteur d'activité qui est à bout de souffle. Cependant, il s'agit de sauvegarder les libraires et les points de vente. Pourquoi, d'ailleurs, ne pas les adapter rapidement au numérique ? En France, après une longue période d'immobilisme, les choses commencent à évoluer. La Fnac, par exemple, a annoncé avoir vendu 40 000 livres au format numérique, et propose désormais 30 000 titres sur son site. Mais c'est tout le secteur de la distribution qu'il va falloir réformer et adapter.
L'Union européenne et le G20 doivent donc se saisir de cette question. Le téléchargement est mondial et n'a pas de frontières. De même que les Etats doivent contrôler la mondialisation et non la subir. Le secteur musical n'avait pas vu venir le tsunami Internet, et son économie a vacillé. Il faut donc développer une offre légale, payante, et ne pas subir ce qu'a connu le monde du disque. Le politique doit jouer son rôle et imposer un prix unique du livre numérique afin de sauver les acquis des auteurs.
Enfin, on se trompe si l'on considère le livre papier comme sacré. Le papier et le livre électronique cohabiteront un temps, mais, à l'heure du numérique, les générations futures s'en passeront sans problème. Aux éditeurs de prendre leur destin en main afin de prévoir l'avenir.